L’institut s’éveillait doucement, berçait par les quelques chants des rares oiseaux déjà réveillaient. Quelques rayons de Soleil se firent sentirent a de rares moments. Une journée bien triste et monotone approchait. Orophel était enfin arrivé a ce mystérieux institut, cette endroit ou réside des gens comme lui, des « maudits »...Orophel s’était levée tôt pour partir a la découverte de ce « paradis », il s’élança donc dans une balade matinale, les mains dans les poches, l’air rêveur, il prêta attention au moindre détails. Se baladant lentement dans les ruelles. Il aperçut un bâtiment qui se trouvait près de l’entrée. Il n’y avait pas fait attention la veille, exténué de fatigue et ne désirant que dormir cela est compréhensible. Il détourna sa marche vers ce bâtiment, un léger sourire aux lèvres il s’avança vers le bâtiment. Un léger rayon de Soleil parvint a son visage, réchauffant légèrement le visage glacé d’Orophel, celui-ci s’arrêté et éleva les yeux au ciel. Son s’élargit doucement, il rebaissa la tête et reprit sa route. Il poussa la froide porte du bâtiment et entra, sentant une douce chaleur lui parcourir le visage et l’intégralité du corps, il frissonna de plaisir, ses yeux firent le tour de la pièce, d’une main froide il referma la porte, une secrétaire l’interpella et lui demanda :
-Oui jeune homme? C’est pour quoi?
Orophel détourna les yeux vers la voix qui venait de lui poser une question et sortit de la poche intérieur de sa veste le prospectus, sans dire un mot, il s’avança vers le bureau et le tendit a la secrétaire, celle-ci s’empara de la feuille, passa un vif coup d’œil dessus et regarda Orophel un sourire accueillant aux lèvres puis elle ajouta :
-Je vois.......Et bien écoutez Bienvenue !
Elle plissa des yeux et jeta le prospectus a la poubelle pour ensuite tirer un tiroir et y sortir de celui-ci une feuille ainsi qu’un stylo, elle déposa la feuille devant Orophel et lui tendit le stylo en disant :
-Remplissez ce formulaire et c’est bon.
Orophel fut surpris, son air étonné intrigua la secrétaire :
-Quelque chose ne vas pas ?
-Si, si mais c’est tout ? Enfin j’veux dire il ne faut pas payer ?
Un sourire amusé apparut sur les lèvres de la secrétaire, elle répondit :
-Bien sur que non, sinon la moitié de nos pensionnaires ne seraient pas ici...
Orophel fit un geste de la tête et commença a remplir le formulaire.